Chercheur, Ph. D.
418 643-2380
poste 420
Pour des productions comme le maïs, le soya ou la pomme de terre, les nombreux passages de la machinerie (particulièrement pour la pomme de terre) et les monocultures ou les rotations de courte durée occasionnent une détérioration de la qualité des sols. Ce projet vise donc à créer des partenariats entre producteurs et à intégrer une culture fourragère pendant trois ans dans des champs de pommes de terre et de grandes cultures (maïs-soya) afin de contrer la dégradation de la qualité des sols tout en facilitant des ententes pour la commercialisation de foin. L’intégration de nouvelles espèces fourragères ainsi que l’amélioration de mélanges fourragers seront également étudiées afin de voir leur impact sur l'amélioration de la santé des sols et sur la rentabilité économique. Finalement, le projet comprendra une étude technico-économique des divers mélanges utilisés et de la vente de foin pour les producteurs de pommes de terre et de grandes cultures. Des analyses biologiques et physico-chimiques du sol et de la biomasse ainsi que des analyses du rendement et de la qualité du maïs, du soya et des pommes de terre lors du retour de la culture spécialisée seront aussi effectuées.
De 2019 à 2023
Durée du projet
Production maraîchère, Grandes cultures
Secteurs d'activité
Santé des sols, Protection des écosystèmes
Services
Ce projet en collaboration avec Agrinova contribuera à restaurer le potentiel de plusieurs sols agricoles.
Agrinova | Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation | Progest 2001 | 12 entreprises agricoles
Modifier l’architecture du système cultural est le moyen retenu pour améliorer l’efficacité d’utilisation de l’eau dans la production de pommes de terre et, par conséquent, diminuer le risque que la culture subisse un stress hydrique.
Chercheurs : Carl Boivin Luc Belzile
Ce projet permettra d’évaluer la rentabilité de l’irrigation en production de pommes de terre et d’outiller les producteurs et leurs conseillers.
Chercheur : Luc Belzile
Ce projet vise à explorer et à expérimenter de nouvelles approches et façons de faire pour maintenir, développer et mettre en valeur le secteur bioalimentaire de l'Île d'Orléans en évaluant des solutions qui ont le potentiel de diminuer, voir éliminer, le déficit hydrique sur ce territoire.
Chercheurs : Carl Boivin Stéphane Godbout