Que ce soit dans un contexte alimentaire, agricole ou environnemental, les installations du laboratoire d’hygiène de l’environnement agricole permettent entre autres de détecter, de quantifier et de caractériser des gènes de résistance aux antibiotiques, des microorganismes indicateurs de contamination fécale de même que des microorganismes pathogènes.
Le laboratoire possède le permis d’agent pathogène humain du groupe de risque 2 et de toxine en vertu de l’article 18 de la Loi sur les agents pathogènes et les toxines et le permis d’agent zoopathogène terrestre du groupe de risque 2 en vertu de l’article 160 du Règlement sur la santé des animaux.