Chercheur, agr., Ph. D.
418 643-2380
poste 650
Chercheur associé, Ph. D.
Les superficies de sols à bon potentiel agricole sont limitées au Québec et en Ontario et les problèmes de dégradation de la santé des sols devraient augmenter sous l’intensification des cultures et des changements climatiques. Les superficies agricoles actuelles vont probablement connaître une intensification de leur production sous l’effet des nouvelles normales climatiques. Ces changements climatiques vont aussi favoriser l’expansion de l’agriculture dans des régions où le climat actuel ne la permet pas. Cela entraînera un déclin de la matière organique des sols, une dégradation de leur structure, une érodabilité accrue, du ruissellement, de l’érosion, une pollution de plus en plus importante des plans d’eau (sédiments, nutriments, pesticides) ainsi qu’une augmentation des émissions de CO2 vers l’atmosphère. Ces effets sont d’autant plus vraisemblables que les sols susceptibles de voir leur vocation agricole gagner en importance présentent une vulnérabilité élevée aux processus de dégradation. Il convient donc d’étudier l’évolution des sols sous les changements climatiques prévisibles et de développer des techniques de conservation des sols qui permettront de contrôler les impacts de ces changements et d’assurer la productivité des sols agricoles du Québec et de l’Ontario, particulièrement dans les régions où les cultures sont présentement marginales, mais appelées à s’intensifier.
De 2018 à 2021
Durée du projet
Grandes cultures
Secteurs d'activité
Santé des sols
Service
Ce projet contribuera à permettre la production agricole dans des régions actuellement peu exploitées.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Université du Québec à Chicoutimi | Université de Guelph | Ouranos
Le but de ce projet était de développer des techniques afin de contrôler efficacement le niveau de la nappe d’eau dans des bassins de culture de sphaigne. Pour y arriver, des systèmes d’irrigation souterraine ont été mis en place sur différents sites expérimentaux.
Chercheur : Stéphane Godbout
Du canola et du blé (rotation blé-maïs-canola) ont été semés en 2016 et 2017 sur 12 parcelles expérimentales comportant le travail du sol en parcelles principales (travail réduit et chisel) et le mode de fertilisation (engrais minéraux, 25 m3/ha de lisier et 50 m3/ha de lisier) en sous-parcelles.
Chercheurs : Caroline Côté Marc-Olivier Gasser
Dans une rotation blé/maïs-grain/soya, l'utilisation d’engrais verts permettra d’obtenir des rendements en grains biologiques rentables tout en limitant les apports de phosphore.
Chercheure : Christine Landry