Chercheure, agr., Ph. D.
418 643-2380
poste 640
Dans le cadre de ce projet, nous voulons établir le lien entre les paramètres biologiques (respiration, azote et groupements fonctionnels biologiques (génomique et PCR), physiques (agrégat et compaction) et chimiques des sols, comme indiqués dans le test de santé de Cornell, et la fourniture en azote du sol. L’objectif est de définir un modèle de prédiction de fourniture en N du sol se basant sur certains indicateurs biologiques de santé de ce dernier.
Une estimation juste de la fourniture en azote du sol permettrait une réduction de l’apport en engrais minéral pour un même rendement des cultures, ce qui aurait un effet direct sur les coûts des intrants agricoles et une diminution des exportations d’azote dans l’environnement. Nous prévoyons effectuer les essais dans la culture du maïs-grain, car celle-ci est nitrophile et a un grand impact sur la qualité des sols.
De 2017 à 2020
Durée du projet
Grandes cultures
Secteurs d'activité
Gestion des matières fertilisantes
Service
Une estimation juste de la fourniture en azote du sol permettra une réduction de l’apport en engrais minéral.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Groupe Environex
Rapport de recherche • Christine Landry, Thomas Jeanne, Richard Hogue, Simon Guillemette
Landry, C., Marchand-Roy, M., Jeanne, T., Mainguy, J., Hogue, R. et Guillemette, S. 2023. « Validation des indicateurs de santé des sols comme outil de prédiction de fourniture en azote des sols pour des recommandations en engrais azoté plus justes. ». 55 TéléchargerCe projet de recherche initié par le centre de recherche sur les grains CÉROM vise à évaluer l’efficacité et la rentabilité des applications d’engrais azoté à efficacité améliorée à base d’urée dans la culture du blé d’automne dans les conditions environnementales du Québec.
Chercheur : Luc Belzile
Ce projet de recherche vise l’instauration de balises techniques, économiques, sociales et environnementales lors de l’irrigation des grandes cultures et des plantes fourragères.
Chercheurs : Carl Boivin Catherine Bossé Simon Ricard
Ce projet a permis d’évaluer l’effet de différents modes de fertilisation du maïs, du soya et du blé sur les rendements commercialisables, la qualité des récoltes et les pertes de nitrates et de microorganismes potentiellement pathogènes pour l’humain l’environnement.
Chercheure : Caroline Côté