Chercheure, Ph. D.
450 653-7368
poste 320
Le galinsoga, Galinsoga quadriradiata Cav., ou G. ciliata (Raf.) Blake, est devenu ces dernières années la principale préoccupation de bon nombre de maraîchers, tant biologiques que conventionnels. Il est peu sensible à la photopériode et fleurit pendant tout l'été jusqu'aux gelées. Les graines peu dormantes germent en continu, produisant jusqu'à 10 000 graines viables/plant. Il est difficile à éliminer car les tiges laissées au sol peuvent se réenraciner et les graines immatures peuvent continuer à mûrir. Il interfère et peut nuire à la récolte. Dans le cadre de ce projet, l’efficacité de différentes stratégies de répression sera évaluée. Les moyens de lutte physique et culturale à l’étude seront : l'occultation, l'utilisation d'engrais verts (sarrasin, avoine) et de différents paillis de végétaux allélopathiques (monarde et seigle), le faux-semis (pyrodésherbage ou vinaigre), la biofumigation (moutarde brune), le désherbage mécanique de précision, l'enfouissement des graines par la rotobutteuse. L'expérimentation sera réalisée à la Plateforme d'innovation en agriculture biologique, à Saint-Bruno-de-Montarville. Un essai incluant le faux-semis et des engrais verts sera aussi réalisé chez un producteur participant.
De 2016 à 2018
Durée du projet
Production maraîchère
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances, Agriculture biologique
Services
Ce projet permettra de développer une stratégie de lutte contre le galinsoga efficace en contexte québécois.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | CETAB+
Modifier l’architecture du système cultural est le moyen retenu pour améliorer l’efficacité d’utilisation de l’eau dans la production de pommes de terre et, par conséquent, diminuer le risque que la culture subisse un stress hydrique.
Chercheurs : Carl Boivin Luc Belzile
Ce projet vise à explorer et à expérimenter de nouvelles approches et façons de faire pour maintenir, développer et mettre en valeur le secteur bioalimentaire de l'Île d'Orléans en évaluant des solutions qui ont le potentiel de diminuer, voir éliminer, le déficit hydrique sur ce territoire.
Chercheurs : Carl Boivin Stéphane Godbout