Dernièrement, une équipe de l’IRDA et du CRIUCPQ a travaillé au développement d’une unité de traitement de l’air permettant de réduire les émissions provenant d’une porcherie. Ce projet vise donc à optimiser le concept expérimental existant afin de produire une unité commerciale à faible coût d’installation et d’opération.
La première partie du projet vise à adapter le design des unités de traitement de l’air (UTA) développées à l’IRDA afin de produire une unité de type commercial à implanter sur un site porcin. À partir du nouveau concept établi, l’efficacité de capture par l’UTA de poussières standardisées, de modèles de virus artificiellement mis en suspension et d’aérosols naturellement générés par l’élevage de porcs sera évaluée. Par la suite, la performance de l’UTA à l’échelle commerciale sera évaluée sur une période prolongée. La dernière partie du projet visera à effectuer une analyse des coûts et des bénéfices liés à l’utilisation d’une telle technologie.
De 2016 à 2018
Durée du projet
Production animale
Secteurs d'activité
Qualité de l'air, Cohabitation en milieu agricole
Services
Cette technologie développée par l'IRDA minimise la propagation des maladies infectieuses et réduit les odeurs générées par la production porcine.
Les éleveurs de porcs du Québec | Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie du Québec | Agriculture et Agroalimentaire Canada
Ce projet vise à développer une alternative, économique, efficace et écologique à l’utilisation d’antibiotiques dans l’élevage de poulets par le développement d’une nouvelle formulation à base de levures, d'enzymes et d'acides organiques.
Chercheur : Stéphane Godbout
Ce projet permettra de déterminer le coefficient d’efficacité de l’azote des fientes de poules pondeuses granulées, car ces dernières sont une source d’azote qui intéresse de plus en plus les producteurs, tant biologiques que conventionnels, pour leur efficacité.
Chercheure : Christine Landry
Projet visant à limiter la propagation de maladies dans les élevages et à améliorer les protocoles de biosécurité à l'aide d'une meilleure connaissance des émissions et de l’adaptation des techniques d'épandage.
Chercheurs : Patrick Brassard Stéphane Godbout