Chercheure, agr., Ph. D.
418 643-2380
poste 640
La fertilisation azotée de l’ail biologique comporte des défis supplémentaires à celle de l’ail conventionnel. Elle augmente les coûts et ajoute des contraintes d’application. Les fumiers frais ne peuvent être appliqués au printemps à cause du délai requis de 120 jours. Leur application à l’automne met à risque la nutrition en azote au printemps suivant à cause des risques de pertes. Les fientes granulées de poules sont applicables au printemps, mais sont coûteuses et entrent en conflit avec le paillage. Appliquées à l’automne, elles minéralisent trop rapidement et relâchent des quantités d’azote nuisant à l’hivernation des caïeux. L’acquisition de connaissances sur la dynamique de fourniture en azote de régies mixtes d’engrais verts et de ferme et sur l’évolution des prélèvements de l’azote par l’ail permettra de mettre au point des stratégies de fertilisation qui assurent de combler les besoins de l’ail tout en minimisant l’accumulation de phosphore et le lessivage de l’azote.
De 2019 à 2023
Durée du projet
Production maraîchère
Secteurs d'activité
Gestion des matières fertilisantes, Agriculture biologique
Services
Ce projet permettra d'établir les bonnes doses de fertilisants nécessaires à la culture de l'ail biologique.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation | Cégep de Victoriaville | Club agroenvironnemental de l’Estrie | Le Petit Mas
Une série de produits au pouvoir désherbant prometteur seront testés à la jonction des plastiques et du sol sur une flore présente naturellement au champ.
Chercheure : Maryse Leblanc
Projet visant à développer des stratégies de piégeage massif qui maintiennent les populations de chrysomèle rayée du concombre sous le seuil économique des dommages tout en minimisant les captures de pollinisateurs et d’ennemis naturels.
Chercheurs : Annabelle Firlej Maxime Lefebvre
Le champignon pathogène Helminthosporium solani cause la tache argentée qui est difficile à détecter dans les sols et sur les tubercules récoltés.
Chercheur : Richard Hogue