Chercheur
418 643-2380
poste 420
Chargé de projets
418 643-2380
poste 630
Le projet propose d’utiliser les techniques de séquençage de haut débit (SHD) pour développer un processus de détection et d’identification des virus (PDIV) combinant les techniques SHD à des outils d’analyses bio-informatiques innovants permettant de transmettre au phytopathologiste, via une interface conviviale, un verdict quantitatif qui détecte et identifie en une seule analyse tous les virus qui infectent un échantillon.
Pour assurer la détection et l’identification précise de tous les virus des framboisiers et des fraisiers, le projet développera :
Une base de données regroupant toutes les séquences issues du séquençage à haut débit sera couplée à une base de données regroupant les paramètres agronomiques, environnementaux et diagnostiques de chacun des échantillons. Ces collections et bases de données serviront lors des essais visant à démontrer l’efficacité diagnostique supérieure du PDIV comparativement à celle des protocoles de référence utilisés par le Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP).
Une analyse économique comparera les coûts d’implantation et d’utilisation des tests LEDP et du PDIV, et les gains obtenus de l’application du PDIV.
De 2019 à 2023
Durée du projet
Production fruitière
Secteurs d'activité
Santé des sols, Pesticides et lutte aux nuisances
Services
Le séquençage à haut débit permet d'identifier en une seule analyse tous les virus qui infectent un échantillon
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval | Ferme Onésime Pouliot | Phytoclone
Ce projet vise à valider à grande échelle une régie raisonnée de l’irrigation et l’application en bande de divers types d’engrais au buttage, afin d’éliminer la fertigation et d’augmenter l’efficacité des fertilisants et de l’eau en plasticulture.
Chercheurs : Carl Boivin Christine Landry
Il a été démontré que la lutte par exclusion peut permettre de combattre efficacement la quasi-totalité des ravageurs des pommes. Bien que le microsystème étudié au Québec depuis 2012 ait démontré son efficacité contre les insectes, plusieurs éléments problématiques restent à étudier avant qu’il puisse être recommandé à grande échelle.
Chercheur : Gérald Chouinard
Projets de recherche visant à réduire la problématique du feu bactérien.
Chercheur : Vincent Philion