Identification des causes du dépérissement des fraisiers pour élaborer des stratégies de lutte intégrée

Richard Hogue, chercheur

Richard Hogue

Chercheur, Ph. D.

418 643-2380
poste 420

Joindre Richard Hogue

Description

Ce projet proposait de réaliser un inventaire exhaustif des virus, des phytoplasmes, des champignons et des nématodes dans les pépinières et les fraisières pour préciser les causes du dépérissement des fraisiers au Québec. Une base de données compilera les informations sur les régies de production et de protection utilisées par les producteurs de plants et de fruits. La réalisation du projet rendra accessibles des services diagnostiques rapides et performants.

Objectif(s)

  • Préciser les causes du dépérissement.
  • Dresser un inventaire des pratiques culturales adoptées par les producteurs de plants et de fruits au Québec.
  • Identifier des facteurs prépondérants au dépérissement.
  • Offrir des services diagnostiques qui aideront les producteurs à identifier rapidement la cause du dépérissement.

De 2014 à 2017

Durée du projet

Production maraîchère

Secteurs d'activité

Pesticides et lutte aux nuisances, Analyses de laboratoire

Services

Ce projet permettra d'offrir de nouveaux services diagnostiques pour aider les producteurs à identifier rapidement la cause du dépérissement des fraisiers.

Partenaire

Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation

Cela pourrait vous intéresser

2017-2019 • Production maraîchère

Étude de la rentabilité de l’irrigation en production de pommes de terre au Québec

Ce projet permettra d’évaluer la rentabilité de l’irrigation en production de pommes de terre et d’outiller les producteurs et leurs conseillers.

Chercheur : Luc Belzile

En savoir plus sur le projet

2018-2020 • Production maraîchère

Effet sur les rendements de l'ajout d'inoculums mycorhiziens commerciaux sur des semences enrobées dans la culture de la carotte nantaise en sol minéral en début de transition biologique

Le projet vise à tester si les souches commerciales importées aux semis de la carotte nantaise parviennent à compétitionner les souches indigènes du sol pour coloniser la plante hôte et si, une fois la symbiose établie, celle-ci parvient à faire mieux que celle établie par les populations indigènes, dans un sol en transition biologique.

Chercheure : Christine Landry

En savoir plus sur le projet

Christine Landry
F