Chercheure, agr., Ph. D.
418 643-2380
poste 640
Chercheure, agr., Ph. D.
450 653-7368
poste 310
Les productions maraîchères sont exigeantes en azote. En bio, elles sont freinées par l’accès à une régie de fertilisation azotée performante et durable. Les engrais organiques utilisés sont en effet le plus souvent des engrais de ferme de faible efficacité riches en phosphore. Des produits commerciaux, tels le Biosol et l’Actisol, ont gagné en popularité, mais apportent encore des quantités notables de phosphore et sont coûteux. Des producteurs se sont tournés vers l’achat de granules de farine de luzerne dont le ratio Neff/Ptot pourrait être intéressant. Ces granules seront testés dans une culture de brocolis sur buttes plastifiées et irriguées et comparées avec les deux engrais organiques mentionnés plus haut, en plus d’un témoin sans apport d’azote. Les connaissances obtenues soutiendront le développement de stratégies intégrées de fertilisation contribuant à la compétitivité des entreprises et au meilleur usage de ces produits fertilisants.
De 2019 à 2021
Durée du projet
Production maraîchère
Secteurs d'activité
Gestion des matières fertilisantes, Salubrité et innocuité des aliments
Services
Ce projet permettra de valider si les granules de farine de luzerne sont performantes en agriculture biologique.
Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation – Programme Prime-Vert | Club Bio-Action | Éco-Luzerne
Rapport de recherche • Christine Landry, Julie Mainguy, Mylène Marchand-Roy
Landry, C., Mainguy, J., Marchand, M., Langelier, M. et coll. 2023. « Étude comparative d'engrais organiques pour le développement de stratégies de fertilisation à haut ration N et P productives et durables en maraîchage biologique ». 49 TéléchargerApporter une majorité des besoins en azote sous une forme très peu lessivable permettra de minimiser la perte d'azote et d'appliquer une dose d'azote plus près de celle réellement nécessaire.
Chercheure : Christine Landry
Ce projet vise à créer des partenariats entre producteurs et à intégrer une culture fourragère pendant trois ans dans des champs de pommes de terre et de grandes cultures afin de contrer la dégradation de la qualité des sols tout en facilitant des ententes pour la commercialisation de foin.
Chercheur : Richard Hogue