Chercheure, agr., Ph. D.
450 653-7368
poste 310
Des études antérieures ont permis de démontrer que des mesures devaient être prises afin de contrôler les populations d'E. coli et de larves de moules zébrées présentes dans l'eau du fleuve. Un système de filtration lente sur sable suivi d'un étang aéré a donc été installé dans une entreprise agricole de l'Île d'Orléans. Bien que l'efficacité du procédé sur ces deux paramètres ait été démontrée, il est possible que le filtre au sable se colmate en raison d'une augmentation de la turbidité de l'eau du fleuve à certaines périodes de la saison et de la prolifération des algues dans la colonne d'eau au-dessus du filtre. Afin de gérer les risques de colmatage, ce projet vise à automatiser le pompage en fonction de la turbidité de l'eau, et de couvrir le filtre de façon à empêcher la lumière de pénétrer dans l'eau et ainsi réduire la prolifération des algues. Ces mesures de contrôle permettront un meilleur transfert de la technologie à d'autres producteurs agricoles désirant s'approvisionner au fleuve.
De 2015 à 2018
Durée du projet
Production maraîchère, Production fruitière, Grandes cultures
Secteurs d'activité
Salubrité et innocuité des aliments, Gestion optimale de l'eau
Services
Grâce à l'IRDA, l’irrigation à partir du Saint-Laurent présente un fort potentiel d’avenir pour les producteurs.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Université Laval | Ferme François Gosselin | Université de Sherbrooke
Le présent projet souhaite conjuguer l’efficacité du goutte-à-goutte et du « fractionnement multiple de l’azote » afin de diminuer la dose totale d’azote apportée par unité de pomme de terre produite et d’offrir des alternatives économiques et environnementales avantageuses à la régie usuelle.
Chercheur : Carl Boivin
Ce projet permettra de quantifier la sévérité à long terme (60+ ans) de l’érosion des sols organiques.
Chercheurs : Claude Bernard Marc-Olivier Gasser
Ce projet vise à créer des partenariats entre producteurs et à intégrer une culture fourragère pendant trois ans dans des champs de pommes de terre et de grandes cultures afin de contrer la dégradation de la qualité des sols tout en facilitant des ententes pour la commercialisation de foin.
Chercheur : Richard Hogue