Par sa haute teneur en omégas, le chia fait partie des aliments que l'on qualifie aujourd'hui de « super aliments » ou d'aliments fonctionnels. Le chia, en tant que culture d'appoint, peut contribuer à la diversification et à la rentabilité des fermes biologiques. Réalisé sur la Plateforme d’innovation en agriculture biologique, ce projet de deux ans a permis de comparer les rendements en graines de chia pour trois dates de semis et trois taux de semis. Des observations ont été effectuées pour répertorier les maladies et les insectes potentiellement nuisibles à cette nouvelle culture. Une analyse technico-économique a validé la faisabilité de la culture du chia, à la suite de l'évaluation des coûts de production.
De 2015 à 2018
Durée du projet
Grandes cultures
Secteurs d'activité
Agriculture biologique
Service
Il est possible de cultiver du chia biologique au Québec et d'obtenir des rendements supérieurs à ce qui se fait en Argentine.
Cultivons l'avenir II | Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Programme Innov'Action | Agriculture et Agroalimentaire Canada | Agri-Fusion 2000
Adaptation du logiciel Terranimo aux conditions du Québec.
Chercheurs : Marc-Olivier Gasser Aubert Michaud, retraité
Le sous-bassin versant de la Rivière de la Roche a un des taux les plus élevés d’exportation de phosphore et de sédiments de l’ensemble du bassin de la Baie Missisquoi, laquelle interpelle particulièrement le milieu agricole.
Chercheurs : Aubert Michaud, retraité Luc Belzile
Ce projet de recherche initié par le centre de recherche sur les grains CÉROM vise à évaluer l’efficacité et la rentabilité des applications d’engrais azoté à efficacité améliorée à base d’urée dans la culture du blé d’automne dans les conditions environnementales du Québec.
Chercheur : Luc Belzile