Ce projet constitue la suite du projet pilote sur la réduction des risques reliés aux pesticides mené par le MAPAQ de 2017 à 2019. Il vise à outiller les producteurs de grandes cultures, les horticulteurs ainsi que leurs conseillers dans l’évaluation économique et la faisabilité de l’adoption de la gestion intégrée des ennemis des cultures (GIEC) dans le but de réduire les risques pour l’environnement et la santé (RES). Pour y arriver, le projet se déroulera en quatre grandes étapes, le tout sous la supervision d’un comité formé de représentants du MAPAQ et de conseillers en agroenvironnement ayant accompagné les entreprises qui ont participé au projet pilote. Tous les conseillers ayant œuvré au projet pilote seront aussi mis à contribution.
La première étape consiste à colliger les informations sur les pratiques et les stratégies de lutte mises à l’essai dans le cadre du projet pilote. Deuxièmement, l’équipe de recherche de l’IRDA mènera une analyse coût-efficacité pour identifier les pratiques et les stratégies les plus prometteuses. Troisièmement, une analyse globale de transférabilité évaluera le potentiel d’adoption de la GIEC en intégrant les RES et les risques économiques. Enfin, des recommandations seront émises pour favoriser la faisabilité d’une approche d’adoption globale et élargie de la GIEC en grandes cultures et en horticulture afin de réduire les RES.
De 2019 à 2021
Durée du projet
Grandes cultures
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances
Service
Cette étude servira à valider la rentabilité de pratiques agricoles.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation | Plusieurs clubs-conseils en agroenvironnement
Ce projet proposait de mettre sur pied une Caravane de l’irrigation qui interviendra dans huit régions agricoles du Québec.
Chercheur : Carl Boivin
Analyse économique d'un projet qui vise à expérimenter différentes méthodes pour réduire les risques de compaction et corriger les problèmes de compaction en surface.
Chercheur : Luc Belzile
Ce projet vise à perfectionner les méthodes de lutte biologiques contre le charançon de la silique dans la culture du canola. Dans ce projet initié par Agriculture et Agroalimentaire Canada et mené au Québec par l’UQAM, l’IRDA assure l’analyse économique des pratiques mises à l’essai.
Chercheur : Luc Belzile