Dans ce contexte, l’IRDA développe donc de nouvelles stratégies efficaces afin de contribuer à la protection de l’environnement et à la santé des travailleurs tout en assurant la rentabilité des producteurs, non seulement en régie biologique, mais aussi en agriculture conventionnelle ou abritée.
L’IRDA travaille activement sur la gestion des mauvaises herbes, entre autres en évaluant l’efficacité et la rentabilité de différents outils et systèmes de désherbage mécanique. Ainsi, l’équipe permet de réduire les risques financiers reliés à l’acquisition de ces équipements pour les producteurs, de bien mesurer le retour sur l’investissement et d’accélérer leur déploiement dans les entreprises agricoles d’ici. Grâce à sa fine connaissance des plantes indésirables, l’IRDA peut aussi proposer des techniques de répression efficaces qui peuvent réduire la pression des mauvaises herbes.
Le développement et la promotion de pratiques respectueuses de l’environnement a par exemple amené l’IRDA :
Finalement, l’IRDA offre aussi des services aux entreprises désireuses de faire homologuer des produits. À l’aide de laboratoires à la fine pointe de la technologie, divers essais requis par les agences de réglementation sont disponibles.
En 2017, 137 vergers québécois, pour une superficie équivalente à 2 800 terrains de football, avaient adopté la confusion sexuelle pour lutter contre le carpocapse de la pomme.